Un hélicoptère atterrit, le
17 mars 2013, près de militaires français stationnés dans le massif des
Ifoghas dans le nord du Mali (Photo Kenzo Tribouillard. AFP)
L’armée française a annoncé mardi avoir tué
une quinzaine de combattants islamistes depuis jeudi lors d’accrochages
dans la région de Gao, dans le nord du Mali.
Les
militaires français ont notamment été harcelés par les jihadistes dans
la zone de Djebok, à une trentaine de km à l’est de Gao. «Pris à partie
sporadiquement par des tirs à courte et moyenne portée», ils ont
«neutralisé une quinzaine de terroristes et huit pick-up» avec l’appui
de moyens aéroterrestres, indique l’état-major dans un point de presse
sur l’opération lancée le 11 janvier contre les groupes islamistes qui
occupaient le nord du Mali.
Selon la même source, plusieurs mines artisanales ont été découvertes et «une quantité importante» d’armes et de munitions a été saisie. Dans la nuit de dimanche à lundi, quatre tubes de lancement de roquettes de 122 mm ont également été détruits dans cette zone.
Dans le nord-est du pays, les forces françaises et tchadiennes poursuivent leurs opérations de ratissage dans le massif des Ifoghas, au sud de Tessalit, indique la défense.
4.000 soldats français sont engagés au Mali, dont environ 1.200 dans le nord-est, où de violents combats les ont opposé depuis mi-février aux combattants d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Autour de Gao, les forces françaises et maliennes sont harcelées par de petits groupes de jihadistes.
Selon la même source, plusieurs mines artisanales ont été découvertes et «une quantité importante» d’armes et de munitions a été saisie. Dans la nuit de dimanche à lundi, quatre tubes de lancement de roquettes de 122 mm ont également été détruits dans cette zone.
Dans le nord-est du pays, les forces françaises et tchadiennes poursuivent leurs opérations de ratissage dans le massif des Ifoghas, au sud de Tessalit, indique la défense.
4.000 soldats français sont engagés au Mali, dont environ 1.200 dans le nord-est, où de violents combats les ont opposé depuis mi-février aux combattants d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Autour de Gao, les forces françaises et maliennes sont harcelées par de petits groupes de jihadistes.
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